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  • PROVOCATION

    Reconstitution intégrale chronologique du blog TROISCLOCHEMERLE de l’hebergeur20SIX.FR OBSOLETE note parue le 

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    REPIQUAGE DE LA NOTE 16

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     « PROVOCATION VERBALE D’UN SURVEILLANT DEVANT PENSIONNAIRE  

    L’INTERNAT de 01800 MOLLON à pensionnaires difficiles et à troubles du comportement - installé, au mépris de toute règle de sécurité pour préserver le voisinage contigu des troubles dangereux, par la municipalité de 01 VILLIEU et du Conseil général de l’Ain - ne supporte pas que leur voisin - VICTIME DE LEUR PERMANENTE VINDICTE ENCOURAGEE PAR LE LAXISME DE LA MUNICIPALITE et de l’encadrement - s’adonne à des occupations jardinières.

    Mardi 27 mars 2007, en milieu d’après-midi, deux adultes du personnel sont apparus menaçants à une fenêtre de l’établissement pour proférer, sans autre forme de préambule, l’interdiction, au voisin, de brûler des bouts d’élagage d’arbustes chez lui.

    Celui des deux s’arrogeant le rôle de justicier serait, selon la définition du directeur, le veilleur de nuit pratiquant un sport de combat (ça lui avait semblé à l’époque important d’insister sur le mot: COMBAT ?)

    Ceci peut expliquer son intervention plus qu’originale, d’une diplomatie qui fait honneur à la mission d’éducateur, empreinte d’un sens inné de la communication faste, bien sûr, aux bonnes relations de voisinage. Pour conclure sa réaction épidermique et ‘’guerrière'’ il a cru bon de rajouter, et, ce qui est grave car devant un pensionnaire: ‘’ Il cherche la merde celui-là‘’ sous entendu il va la trouver. Pour ça on peut leur faire confiance !

    Le pensionnaire en question encouragé par l’agressivité de ses ‘’ maîtres à penser'’ n’a pas hésité une seconde pour leur venir en aide en apostrophant le voisin de noms d'oiseaux. C’est un exemple parmi tant d’autres (signalés maintes fois) qui confirme  qu’il est inculqué à ces pensionnaires la haine du voisin. Le justicier de circonstance n’est pas en reste.

    Les représailles de la part de d’autres internes ne se sont pas fait attendre: certains, en fin d’après midi, dans une voiture de l’Internat conduite par un ‘’éducateur'’ roulant au pas, puisque leur entrée est à coté de celle du voisin, se sont mis à vociférer avec bras d’honneur en direction du voisin en passant devant son portail.

    Cet établissement semble être livré à lui-même, sans capitaine, évoluant à la merci d’un équipage inexpérimenté, indiscipliné et agressif  type ‘’mercenaire'’ ayant comme Armateurs (autorités) des gens sans scrupules dont le leitmotiv pour atteindre leur but est: la fin justifie les moyens

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  • CAMP RETRANCHE

    Reconstitution intégrale chronologique du blog TROISCLOCHEMERLE de l’hebergeur20SIX.FR OBSOLETE note parue le 22/03/07

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    REPIQUAGE DE LA NOTE 15

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    Pour pallier une recrudescence de pénétrations par effractions dans mes lieux privatifs clôturés, de la part de l'Internat de 01800 MOLLON, IL  A FALLU EMPLOYER DES MOYENS ''MILITAIRES'' POUR ME PROTEGER DE SES ACTIONS DELINQUANTES.

    N'ayant plus d'autres possibilités (toutes les autorités ont été prévenues en son temps pour endiguer ces délits, perpétrés en mon absence et la nuit en vain) je me suis résigné à donner à ma propriété le style d'un ''camp retranché'' en mettant des fils barbelés en torsade sur le haut des clôtures et à mi-hauteur des séparations en dur

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    Les directions se succèdent à une cadence alarmante et significative des difficultés majeures de fonctionnement de cet établissement;

     

    De deux choses l'une: ou c'est la faute de celui qui était déjà là, le voisin; ou c'est la faute de l'Internat venu près, tout près de lui !

     

    a)si c'est le voisin, alors il faut entreprendre une procédure d'expropriation; ou bien, pour ce vieux,  retraité, misanthrope, parano et psychopathe, exécré et/ou fui, paraît-il, par ses proches, alors, il faut engager une procédure d'enfermement pour troubles dangereux de la personnalité menaçant la sécurité publique.

     

    b) si c'est l'Internat: corriger et adapter le fonctionnement et les aménagements de l'enceinte de celui-ci surtout au regard des caractéristiques de la population accueillie (formulation repiquée sur le courrier du 14/06/2005 du directeur n° 2, qui ,par ce vocabulaire, reconnaît, ce qui est constaté dans les faits, contrairement à ce que dit le Conseil Général de l'Ain dans ses écrits: arrêté du01/02/99 et un avenant du 31/03/05, qui présentent les pensionnaires comme des victimes de la maltraitance alors que certains relèvent bien de la petite délinquance) car le clos de ce Centre ignore  superbement la sécurité du voisinage contigu, quant aux biens et personnes ,et constitue une atteinte à la vie privée.

    Comme cela a déjà été dit, ce mutisme et laxisme constituent pratiquement un DELIT DE NON ASSISTANCE A PERSONNE EN DANGER de la part des autorités de tutelles.

     

     Il est complètement puérile et irresponsable de penser que la situation, en l'état des choses, puisse durer encore bien longtemps sans agir, non pas par petites touches (un petit pas en avant et deux petits pas en arrière) ceci au gré des humeurs et de la bonne volonté de l'encadrement (le turnover est trop important pour espérer de la constance) mais sur le fond c'est-à-dire, penser à des travaux correctifs d'adaptabilité de cette promiscuité: les autorités de tutelles et autres intervenants jouent aux apprentis sorciers

    L'on dit volontiers:

    -   que l'homme sauvage n'a que des réactions émotionnelles, agressives et incontrôlées (ce qui cataloguerait selon la rumeur le voisin)

    -    que l'homme civilisé, intelligent, instruit et cultivé a des sentiments et des idées et qu'il est le plus souvent affable et sociable avec des qualités de discernement et modération de jugement ; pare contre la fierté, au sens vaniteux du terme et l'entêtement aveugle sont habituellement les privilèges du sot.

     

    Il est alors difficilement compréhensible que les initiateurs, ''contrôleurs'' et gestionnaires de cet établissement dotés d'un intellect dont la supériorité et sans commune mesure à celui de l'homme qu'est le voisin fassent mentir certains éminents penseurs

    Alors faut-il faire une demande pour obtenir d'un tribunal ce type de protection:

      neige07 120.jpg

    ou dans un mouvement de BON SENS appliquer ce qui est fait pour un tennis ou ce qui a été fait sur le terrain de football derrière l'Internat, c'est-à-dire une protection sur les limites séparatives du genre de celles-ci par exemple:

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  • RESTAURATION D'UNE NUISANCE

    Reconstitution intégrale chronologique du blog TROISCLOCHEMERLE de l’hebergeur20SIX.FR OBSOLETE note parue le 06/03/07

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    REPIQUAGE DE LA NOTE 14

    OBSTRUCTION D'ACCES PROPRIETE

    LA  REMISE EN VIGUEUR PAR L'INTERNAT D'UNE NUISANCE génératrice de troubles de voisinage

    On aurait pu penser que le personnel de l'Internat de 01800 MOLLON, Centre de pensionnaire difficiles, depuis l'article du PROGRES du 11/02/07 faisant état de l'attitude réfractaire des responsables de ce Centre à écarter le danger pour le voisinage immédiat, s'était acheté une conduite une sorte de rédemption; eh...bien ce n'était qu'un leurre.

    Le ressentiment à la vie dure: chassez le naturel il revient au galop!

    La direction, à moins que le directeur n°4 ait rendu son ''tablier'', à ce moment-là il faudrait admettre que le personnel vient de son initiative de rétablir une nuisance qui avait été supprimée à partir de janvier 2004, c'est-à-dire l'orchestration d'un balai de livraisons en faisant stationner les camions devant mon entrée de façon à l'obstruer sur toute sa longueur.

     

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    LES PHOTOS CI-DESSUS

    DEMONTRENT SANS AMBIGUITE L'AMPLEUR DE L'OBSTRUCTION OCCASIONNEE PAR LES CAMIONS (photos de périodes différentes)

    Ceci pourrait être supportable mais ce qui l'est moins , au lieu de l'arrêter, c'est de laisser tourner le moteur  ce qui provoque une trépidation et un bruit d'une intensité assourdissante que l'on fait , bien sûr, durer tout le temps de la manutention qui est souvent bien long et pour cause:

    -celui qui ne connaît pas la configuration de l'ensemble des lieux peut dire qu'il faut bien que livraisons se fassent et, qu'il n'y a pas de quoi se formaliser outre mesure, et l'on ne pourrait qu'être d'accord.

    Mais cela ajouté au reste et, SURTOUT, quand on sait que les cuisines plus le lieu de stockage des denrées se situent à l'opposé du bâtiment, et que cet endroit de dépôt des marchandises est accessible par les camions,CE QUI RENDRAIT LA MANUTENTION à BRAS plus COURTE de 10 fois son trajet par rapport austationnement devant mon entrée. ON PEUT SE POSER DES QUESTIONS QUANT AUX MOTIVATIONS DE CE RETOUR A CETTE NUISANCE.

    La topographie des lieux n'a pas changée ces dernières semaines, alors,  pourquoi revenir à une situation génératrice de troubles et conflits ? il est vrai que ces gens-là affectionnent les représailles.

    ALORS.... l'Article du PROGRES il faut bien le faire payer d'une manière, ou d'une  autre !

    Précision qui a toute son importance.

    Lors des travaux de transformation de ce bâtiment mairie/école en Pensionnat éducatif une aire de STATIONNEMENT LIVRAISON devant celui-ci avait été ébauchée.

    En effet, le commencement des travaux pour créer un espace livraison a été interrompu précipitamment.  Le responsable chargé du travail disait avoir reçu l’ordre d’abandonner et de remettre l’endroit en l’état d’origine ?  

    Comment comprendre que le bailleur/promoteur, la Municipalité, et son architecte… n’ont pas pensé qu’un établissement recevant de 20 à 25 internes nécessiterait obligatoirement l’approvisionnement permanent de denrées alimentaires. Ceci, bien sûr, obligatoirement par camions dont la réfrigération fonctionne bruyamment en permanence lors des déchargements ?

    CETTE IGNORANCE DANS LA CONCEPTION EST IMPARDONNABLE aussi de la part du DPLG

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