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DENONCIATION CALOMNIEUSE

Reconstitution intégrale chronologique du blog TROISCLOCHEMERLE de l’hebergeur20SIX.FR OBSOLETE

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REPIQUAGE DE LA NOTE 2

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CE BLOG RELATE DES TROUBLES DE VOISINAGE DANGEREUX SUITE À LA CREATION D'UN INTERNAT À 01800 MOLLON, POUR PENSIONNAIRES MINEURS ET MAJEURS ''DIFFICLES''. CREATION SANS AUCUNE PRECAUTION DE PROTECTION POUR LA SECURITE DES BIENS ET PERSONNES D'UNE HABITATION SURPLOMBEE.

Une partie du dossier contentieux sera éditée par périodes espacées en des notes et images.

 

DENONCIATION CALOMNIEUSE:

Voilà le texte APPROXIMATIF (je le restitue de mémoire) que l'on m'avait proposé de m'insérer dans la presse locale (j'avais à ce moment-là refusé

ARTICLE:

" Le procureur fait sur dénonciation perquisitionner avec des mises sous séquestre chez un inoffensif retraité parce qu'il avait un vieil appareil photo sur un rayon du châssis vitré de son garage.

Samedi.....septembre, un discret retraité de 01800 MOLLON (commune/hameau bordant la rivière d'ain)  à qui l'on peut reprocher de n'être pas du terroir et de ne pas familiariser avec tout le village; dont les occupations et loisirs, honorables, sont ceux classiques d'un troisième âge, a eu la traumatisante surprise de se faire interpeller à 10 H du matin environ, en rentrant chez lui par deux Gendarmes qui l'avaient suivi.

Lors de cette perquisition les Gendarmes se sont acharnés à rechercher en VAIN des photos qui auraient pu avoir une connotation de moeurs déviées. (l'affaire d'Autrou ne servira donc pas de leçon)

Le tort de cet habitant de Mollon est d'avoir comme voisin contigu, venu s'installé huit ans après lui, un établissement,internat pour mineurs et majeurs ''difficiles'' qui font subir à ce retraité toutes les humiliations ( il n'y aurait pas que les pensionnaires)

Les directions successives de cet Internat, les autorités de tutelle locale et régionale ne font rien depuis plus de sept ans en ne prenant aucune mesure pour sécuriser le voisinage immédiat (évidemment il n'y en a qu'un) afin de faire cesser cette situation et cela malgré de nombreuses plaintes déposées à la Gendarmerie et chez le Procureur......."

A LA SUITE DE CELA JE TRANSMETTAIS, LE LUNDI, LE COURRIER SUIVANT A MON CONSEIL:

Cher Maître,

Je vous fais part des derniers événements à incidence sur la suite de mon dossier.

Heureusement qu'il n'a pas été délivrée la Sommation préparée par vos soins, je serais à l'heure actuelle en garde à vue.

Samedi 02 septembre, vers dix heures du matin, j'ai fait l'objet d'une perquisition pour flagrance ou flagrant délit, sans nécessité d'un ordre écrit du Procureur compte tenu du crime commis: J'aurais porté atteinte à la vie privée pour une pseudo captation illicite d'images d'autrui.

La perquisition a été faite à mon domicile avec mise sous séquestre d'appareils photographiques et photos (une désagréable suspicion planait, je l'ai fait remarquer)

Comme je vous l'ai dit, ainsi d'ailleurs qu'au Cdt de Gendarmerie courant Mai, j'ai mis en évidence devant un châssis de mon garage, à l'intérieur et face aux fenêtres Sud de cet Ets, un vieil appareil photo Polaroid, non chargé de pellicules et sans zoom comme LEURRE d'une caméra.

Ceci pour intimider et dissuader les auteurs de cet Internat qui m'agressent de projectiles dangereux depuis les fenêtres du pignon Sud me surplombant: j'étais d'ailleurs satisfait de cette solution qui se révélait efficace.

Le Maréchal des logis chef effectuant la perquisition a été visiblement dépité en constatant que c'était un leurre inopérant donc inapte à capter des images.

Avec une certaines brusquerie dans le ton a fouillé dans mon dossier litige ..........et mis sous séquestre les photos dont certaines sont citées dans votre projet de Sommation à deux près, en votre possession, qui auraient ''consommé le crime''

Je tomberais sous le coup d'un délit grave - car il est parait-il interdit de photographier des bâtiments sans l'autorisation des occupants ou propriétaires - passible de mise en détention provisoire notamment s'il apparaît à l'extérieur d'une ouverture un visage ou seulement si on le devine, même sans le reconnaître, penché au dehors. (les magazines, revues, films, reportages et autres cartes postales n'ont qu’à bien se tenir)

Il m'est fait interdiction par le Procureur de déposer dans mon garage un appareil de prises de vues et l'interdiction formelle de prendre dans mon champ de vision (dixit les Gendarmes) une parcelle, même infime, de l'Internat, n'y a-t-il pas là implicitement une allusion d'atteinte aux bonnes moeurs? Autrou ferait-il des émules !

Je remarque, paranoïa oblige, que l'on me ferme toutes les portes qui me permettent d'obtenir, au moment précis, une preuve de flagrant délit des actions délictueuses perpétrées par les pensionnaires de l'Internat en question. Toute autre preuve ne peut être qu'a posteriori, ce qui ne serait plus l'action mais le résultat de celle-ci, donc sans pouvoir confondre l'auteur.

S'il y en a un qui peut se plaindre d'atteinte à la vie privée c'est bien moi. Etant surplombé de deux fenêtres situées à huit ou dix mètres du sol, par lesquelles je suis épié, agressé par objets et verbalement...ma vie privée extérieure est inexistante: une vie de famille avec des enfants, notamment avec des adolescentes serait dramatique.

La levée du séquestre et la restitution des photos (avec une réflexion du Gendarme style: puisque votre Avocat a une copie!!!)et appareils ont eu lieu après mon audition à la Brigade avec rappel dans le P.V. les menaces du Procureur qui ''magnanime'' avait donné l'ordre de lever les séquestres.

Cette plainte que je ressens comme une dénonciation calomnieuse me semble avoir été déposée à titre de représailles suite au courrier, après une joute verbale, remis au nouveau directeur le premier de ce mois (copie jointe) (Elle sera jointe sur le Blog la prochaine fois)

Cela fait beaucoup de chose:

1- De demandeur d'une médiation je deviens le délinquant pour une détérioration imaginaire; le directeur et le médiateur n'ont su dire quoi, où et quand.Il est très curieux qu'un procureur se serve d'un motif mensonger donc condamnable;

2- Plainte de l'Internat d'avoir soi-disant blessé un pensionnaire en restituant par dessus ma haie une miniature de voiture de trois cm en plastic;

3- Procédure de flagrance pour une chaussure jetée chez moi par les pensionnaires, considérée volée par mes soins;

4- ce samedi la PERQUISITION.

Devant tant de hargne, d'acharnement et de menaces pénales tentant à limiter mes droits, car cela devient une -atteinte - à mes droits: on va bientôt m'interdire de séjour dans ma cour, ou m'obliger à des heures de sorties pour me contraindre au silence et/ou me faire partir. (je comprends mieux maintenant certaines attitudes antérieures fomentées par l'encadrement décuplant la vindicte  des pensionnaires)

On feint d'ignorer que ce sont eux qui sont venus à moi et non l'inverse; j'attendrai donc d'avoir....................

Croyez Cher Maître..............

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CECI ETAIT LE PREMIER EPISODE

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