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  • REPRESAILLES

    Reconstitution intégrale chronologique du blog TROISCLOCHEMERLE de l’hebergeur20SIX.FR OBSOLETE   

    REPIQUAGE DE LA NOTE 32

    (Pour consulter les nouvelles notes cliquez dans le pavé   ''   NOTES RECENTES'' sur la gauche en partant du haut)

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    REPRESAILLES GRATUITES DES PENSIONNAIRES  de MOLLON

     

    Un des effets de l’incapacité du maire/bailleur à éradiquer les troubles anormaux de voisinage de son locataire le Centre St Exupéry ‘’ Les Planètes’’ 01800 Mollon, appelé maison de l’’enfance pour pensionnaires de 5 à 20 ans (selon la convention du Conseil Général)

     

    Samedi 20 juillet les pensionnaires de cet établissement, livrés à eux-mêmes, dans une frénésie collective ont agressé par un tas de projectiles la maison de leur seul voisin auteur de cette note. Ces projectiles représentent plusieurs chaussures, casque, pierres, bâton… alors que leur voisin était absent de chez lui. Parti à 8 H 30, heure à laquelle les vandales sont encore couchés, revenu à 17 H30, moment du constat de cette  énième agression, n’a pu provoquer ou susciter cette haine - maintes fois dénoncée - haine entretenue par certains employé(e)s et facilitée par la coupable mollesse du maire/bailleur.

     

    Cette persécution ne s’est pas arrêtée là. Alors qu’il a été officiellement réitéré aux directions successives (6) de cet établissement l’interdiction à quiconque de ce Centre de venir harceler le voisin en venant sonner à sa porte et, ceci, quel que soit le motif ; méprisant cette interdiction une employée (encore une nouvelle, ça défile à la vitesse grand V) est venue demander des explications sur le mécontentement exprimé de la victime.

     

    Toutes ces scènes de harcèlement à la porte ainsi que les actions d’agressions verbales et par projectiles sont et seront mémorisées. Le directeur numéro 6 en a été informé par un écrit ainsi que le maire/bailleur de 01800 VILLIEU.L.M.

     

    Que ce soit le directeur, le personnel ou les pensionnaires ils transgressent tous les règles et engagements pris. C’est ce que l’on doit sans doute appeler civisme ceci est assez significatif quant à la mentalité et le niveau de l’encadrement.

     

    Quand on entend dire que le directeur ne transmet pas de consignes sur les engagements pris et/ou n’informe pas de l’intervention par écrit de son bailleur ses collaborateurs, même les plus proches, il ne faut plus s’étonner du fonctionnement anarchique de ce pensionnat.  Cette manière de fonctionner confirme, aussi, ‘’l’ingérabilité’’ de cette activité compte tenu du contexte et surtout de sa situation géographique dans l’environnement déjà existant avant sa création -  ou bien démontre une fois de plus l’incompétence des responsables directs et indirects, ce ne peut être que l’un ou l’autre.

     

    Ceci encouragé par un maire/bailleur qui, ne voulant pas déplaire ou perdre son locataire à plus de cinq milles euros de loyer par mois, n’est jamais intervenu depuis treize ans à l’exception d’une timide réaction, copie de celle-ci :

     

    A- lettre du voisin interpellant le maire

     

    Monsieur le maire

    Mairie 95 av Charles De Gaulle

    01800 VILLIEU LOYES MOLLON

     Mollon le 06/06/2013

     RECOMMANDE avec AVIS de RECEPTION

     Monsieur le maire,

     

    Pendant la procédure en cours auprès du Tribunal Administratif, vous mettant en cause en tant que bailleur, je me suis obligé à rester silencieux sur les exactions persistantes de vos locataires le Centre St Exupéry mon voisin immédiat.

     

    Je me suis aussi imposé un mode de vie, qui ne peut être que PROVISOIRE, limitant mon évolution dans mon enceinte et les sorties à l’extérieur de ma propriété à des heures qui évitent au maximum les contacts même visuels avec vos locataires. Cette privation de pleine jouissance n’est pas tolérable bien longtemps.

     

    Malgré cela les troubles et agressions allant crescendo du fait de mes occupations de saison occasionnant ma présence plus accrue dans mes cours et jardin, m’exposent aux projections d’objets, provocations par intervention à la porte de mon domicile et  insultes proférées par les fenêtres pignons sud me surplombant.

     

    Toutes ces scènes sont maintenant mémorisées.

     

    Dans le cas d’un résultat insatisfaisant du Tribunal Administratif le juriste déjà instruit de mes intentions de poursuivre avec des exigences beaucoup plus radicales que celles formulées jusqu’à maintenant prendra le relais.

     

    Il semblerait que seul l’intérêt financier que représente pour vous le bail du Centre St Exupéry soit la raison de votre persistance à ignorer la gravité de la situation en faisant fi de la sécurité de vos administrés.

     

    Vous voilà informé qu’il y a maintenance du climat délétère que fait régner votre locataire de Mollon.

     

    Agréez, Monsieur le maire, mes salutations distinguées. »

     

     

    B- Extrait du courrier du maire/bailleur transmis au locataire faisant prolongement à l’interpellation du 06/06/13 qui est  très significatif sur son peu de volonté:

     -Passage de sa lettre du 20/06/13 au directeur du Centre St Ex ‘’Les planètes’’ :

     « … désagréments occasionnés par vos jeunes résidents. Je compte sur vous pour faire au mieux afin que les faits relatés dans le courrier ci-joint, s’ils sont avérés, ne se reproduisent plus… »

    La démarche du maire est dérisoire et est à la limite du risible eu égard à la situation. Sa timide intervention est sans doute destinée à  convaincre le Tribunal Administratif, auprès duquel il a été mis en cause, qu’il assume ses obligations de maire et qu’il respecte la loi engageant maintenant la responsabilité des bailleurs.

     

    Ce manque de fermeté dans son intervention auprès de son locataire, ce qui est une forme de complaisance, et son irresponsable comportement  sur la nécessité de prendre des mesures énergiques administratives et matérielles pour sécuriser l’environnement immédiat habité, seraient la conséquence d’une certitude qu’il est dans son bon droit et, que même, le résultat, dit-il,  du Tribunal administratif ne lui serait pas défavorable.

     

    Un aboutissement de ce genre serait ouvertement un encouragement à une escalade de la petite délinquance.

  • TROUBLES COLLATERAUX

    Troubles collatéraux

    Reconstitution intégrale chronologique du blog TROISCLOCHEMERLE de l’hebergeur20SIX.FR OBSOLETE   

    REPIQUAGE DE LA NOTE 31

    Un maire par une inertie délibérée génère des troubles collatéraux.

    Le maire de VILLIEU.L.M favorise le climat d’insécurité subi par le seul voisin du pensionnat Centre st Exupéry 01 Mollon, par son indifférence et sa bienveillante clémence vis-à-vis de son lucratif locataire qui crée des troubles directs, mais aussi indirects, par l’intervention de gens que ce pensionnat reçoit dans son enceinte.

    Dimanche 14 juillet vers 13 H 30 une famille (Ados, parents et personnes plus âgées) est venue faire le siège de l’entrée du voisin du Centre St Ex de Mollon en l’agonisant d’insultes et de provocations. L’événement qui a déclenché cette débauche d’agressivité n’est qu’un anodin congédiement d’ados venus sonner chez lui pour réclamer un soi-disant objet projeté depuis l’enceinte de l’Internat Centre St Exupéry ‘’Les Planètes’’.

    Ce n’est pas la première fois que cela arrive, le bailleur de cet Internat à pensionnaires difficiles, le maire,  prendrait donc un malin plaisir qu’on ne serait pas étonné à laisser dégénérer ces situations en ignorant les demandes qui lui ont été faites, que ce soit amiablement ou judiciairement, d’apporter des correctifs de structures et d’infrastructures.

    En effet, il y a de sa part un refus permanent de sécuriser le voisin (souffre douleur des pensionnaires et d’autres ….) pour faire obstacle aux vandalismes, agressions verbales (insultes à en vomir) et par objets de jeux ou de matériaux durs et dangereux.

    Cette famille, motivant cette note, se référant d’un parent gendarme comme si ça lui donnait le droit de venir agresser les gens chez eux avec des termes aboyés, sans l’ombre d’un préliminaire de politesse du genre : « c’est vous qui avez envoyé chier... » (sic) enchainé, outre les insultes, par la tirade d’une femme déclamant l’argument imbécile suivant : « on ne vient pas habiter à coté d’un pensionnat quand on veut sa tranquillité ». Appréciation qui est un peu celle d’un esprit étroit à moralité douteuse, est un exemple significatif quant à son niveau et sa capacité à dispenser une éducation à sa progéniture. Quand on ne sait pas on s’abstient de proférer des sentences ridicules sur des situations dont on n’a aucune connaissance, mais ça…

    Est-il besoin de rappeler au maire/bailleur que quand  l’établissement en question a été créé, entre autres par la Municipalité, et mis en service, le voisin était là déjà depuis huit ans.  

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